**Les poèmes de Flora**

Mon amour que jai pour toi serrait le plus grand,
Et je nai aucun doute de mes sentiment.
Je taime, et cest ma plume qui te lecrit,
Mais par exemple cest mon coeur ke te le dit.

Les mots que je te dit souvent sont vraiment court,
Que beaucoup de gens ont prononcé souvent sans amour.
Jaimerai pour toi en inventer de nouveau ,
pour te prouver ,que moi ,je taime vraiment trop.

un peu ??? !!!
pas que un peu !!!
beaucoup !!!

N"exagerons pas la chose !!!

Je suis deja palme d'argent

ouais mais bon
vaut mieux être modeste dans la vie ^^
lol mdr

pas de flood merci

elle fait pas de flood la !

si un smilie dans un message tu l'as interdit et mwoua j'appelle ça du flood OKAY ?? mdr

Un smiley c du flood ?

non un smiley cest pas du flood !
le flood c'est quand tu répetes plusieurs fois la même chose !

oui mais un seul smilie dans un msg alison tu l'as INTERDIT !!!!
mdr
j'fait des histouar pour rien lol mdr

oui c'est vrai je l'interdit !

t'as vu un peu !! tous les souars j'apprends tous les réglements de ton forum ça m'occupe
lol mdr na 'jdek

Bah ...

kwoua bah ?? tu sais t'es pas obligée de répondre à tous les messages

lol
tu dois bien t'amuser a tous apprendre !

lol ouais
mdr mais j'le fais pas mdr j'ai pas ke ça a foutre mdr

Le poète écrit sur du papier fleuri
De ces grandes poesies
Il fait craquer les filles
Avec son regard d’ange, il sourit

Temps mieux pour lui
Parce que moi si j’écris ces poesies
Ce n’est pas pour plaire aux filles
Mais pour exprimer ma maladie Je le remes ce poeme ici ^^

il est super !!!
bravo !!!

c tro bo BRAVO

voui re-bravo

Je t’aime
Je ne te le dirai jamais asser
Je n’aurai sans doute jamais honte de t’aimer
C’est pourquoi je t’écris ce poème

J’ai tellment versée de larmes
Pour quelques misérables regards
J’ai épuiser toute mes armes
Maintenant il est trop tard

Chtais prête a tout lé sacrifices
Mais y’en a pas un kia marcher criss
Que préfères-tu
Entre me détruire ou me plaire ?

As-tu fais le bon choix
En me mettant sur ma croix
Faudrait que je subisse toutes lé souffrances
Pour en venir a l’évidence

J’veux pas
J’veux pu
Ch’t’année
J’peux pu faire comme ca
J’peux pu
Mon cœur est en train d’se tuer

Du feu
C tout ske j’veux
Pour enfin brûler
Mon espoir déchirer

Je pleure
Je meurt
Chaque jour, je le vit pour toi
En espérant t’avoir dans mes bras

J’ai sortit toutes mé prières
J’les ai toutes entérer ... six pieds sous Terre
J’vois que tu résistes
A tout ces caprices

J’ai compris
Tout ce mépris
Tout est simple, je vis dans un dilemme
Tant et aussi longtemps que je t’aime

nul lool

Dès ma promenade, elle m’enrichie.
C’est raffiné et purifié de vie.
Mon odorat n’attacha qu’à ses arômes,
L’aura qu’elle émet, l’usine de baume.

Les mots de passions, ne décrivent sa radiation.
L’or comparé à elle, vire au statut torchon.
Mais l’anis s’y mesurit, elle.
Elle a nous comme force et rondelle.

Odin, divinité, va les ridiculiser.
Ces fleurs rouges, de renommée.
Leur sang dit, qu’elles avaient du jus,
Lié à leurs racines, tu dis que c’était inconnue.

Ma promenade linéaire n’est dite que partielle,
Quand un descriptif n’est pas fait de ses dentelles.
Elles sont tissées, d’amour, d’ivresse.
Tel les ondulations de l’eau de sagesse.

Elle est le vin, sans son état.
Elle est toile et tienne à la fois.
Lis-y en elle et tu verras.
Elles régissent tout ce qu’émanent de toi.



J’ose espérer, que toi, la poésie t’as.
Car innée, chez moi, ce n’est pas.
Les origines naissent, disparaissent.
Mais tu vois mes écrits ont des faiblesses.


Une amie a lu ce poème, elle m’a rie au nez.
Guismo agrafa bien ce poème sur le mur des non inspirés.